Piégeons les tiques grâce à nos smartphones !

Responsables de la fameuse « maladie de Lyme » ainsi que d’autres maladies dites « maladies vectorielles à tiques » potentiellement émergentes, les tiques donnent du fil à retordre aux chercheurs qui essaient de comprendre comment elles nous transmettent ces maux et de surveiller leur évolution.

Les tiques sont partout... Mais nous aussi ! Et grâce à nos smartphones, chacun d’entre nous peut facilement collecter et transmettre des informations sur les tiques de nos régions et être acteur d’une recherche participative ouverte à tous les citoyens, comme celle menée à l’INRA. Ainsi nous pouvons améliorer ensemble notre connaissance de ces maladies et mieux en prévenir les risques.

Comment ? Venez vous joindre à des chercheurs, des médecins, des gardes-forestiers, des responsables associatifs (liste non-exhaustive !), imaginez, construisez, testez et améliorez ensemble un nouvel outil utile à tous en participant à un atelier « living-lab » le 3 mars 2017 à l’ESPGG.

Un document collaboratif sera mis en ligne pendant le workshop et le restera après. Vous y trouverez un compte rendu de la journée, une liste de liens pour aller plus loin et un espace pour poser des questions et/ou y répondre. Il sera possible à chacun d’y accéder, même si vous n’avez pas pu venir au workshop, nous communiquerons l’adresse sur ce site internet !

L’atelier, monté dans le cadre de l’exposition Science Frugale à l’ESPGG est ouvert à tous !
Réservation obligatoire par le formulaire ci-dessous.

Vous pouvez trouver à ce lien : ICI un document collaboratif qui vous permettra de suivre les événements de la journée.

ESPGG : 10 Rue Vauquelin, 75005 Paris.
Le Vendredi 3 Mars, 10h-18h.
Le déjeuner sera pris en charge.
Jauge maximale : 15 participants

Un projet living lab soutenu par la région Île-de-France.

Suite à de nombreuses réservations, la jauge maximale de ce workshop a été atteinte. Il n’est plus possible de réserver. Merci de votre compréhension. Il sera toutefois toujours possible d’aller sur le document collaboratif du workshop et d’y poser des questions, de commenter ou de suivre le compte rendu des activités.